拉摩的侄儿论文
Deux conceptions éthiques dans
Introduction
Les deux personnalités principales dans le Neveu de Rameau, Diderot et le neveu
de Rameau, ont des conceptions éthiques complètement différentes. Diderot s’en tient
aux idées traditionnelles et respecte la vertu parfaite. Au contraire, le neveu de Rameau représente l’utilitarisme et poursuit la jouissance fonctionnelle. Comprenant que la morale louable est presque en ruine dans la vie réelle, Diderot s’inquiète
beaucoup mais il n’y peut rien.
Chapitre 1 Présentation du récit dialogué et résumé
1. 1 présentation du récit dialogué
Le Neveu de Rameau est un dialogue écrit par Denis Diderot. Il s'agit d'une discussion à bâtons rompus entre Moi, le narrateur, philosophe, et Lui, Jean-François Rameau, neveu du célèbre compositeur Jean-Philippe Rameau. Marx considère ce récit comme ? un œuvre incomparable ?.
Écrit en 1761, ce récit n’a pas été publié avant le décès de Diderot. Quinze ou vingt
ans après, Goethe l’a lu et le trouvait excellent. Il l’a traduit en allemand et l’a publié en 1805. Puis, ce récit est traduit en français en 1821. En 1891, Georges Monval trouve par hasard, dans un lot de documents acheté chez un bouquiniste parisien, un autre exemplaire du Neveu, manuscrit et autographe de Diderot qui constitue depuis lors le texte de référence des éditions récentes.
1. 2 résumé
Le philosophe Moi et le neveu du célèbre compositeur Rameau Lui se rencontrent dans un café du Palais-Royal, ils se discutent sur l’essence d’un génie: un artiste et un
citoyen idéal ou un monstre d'égoïsme? Ils contestent ensuite sur l'éducation des jeunes filles, sur l'immoralisme, sur l'aide aux indigents, sur la flatterie comme art de vivre, sur la musique ...
Le neveu de Rameau est un vagabond. Il sert à la classe gouvernante. Par conséquent, il est obséquieux et se laisse piétiner. Pourtant, il est honnête et franc. Il crache son mépris sur la vie sans idéal de la société choisie. Son caractère amalgame étrangement l’intelligence et la stupidité, l’élégance et la vulgarité, la frénésie et la
tranquillité et l’esprit correct et faux. Il est à la fois cynique et loyal. Moi essai de le persuader que l'honnêteté seule peut rendre heureux et qu’il faut avoir une vie sublime.
Mais il échoue. Il est même obligé de reconnaître tacitement les opinions de Lui. Chapitre 2 Antagonismes entre deux conceptions éthiques
Il n’existe pas d’intrigue concrète dans. Ce sont deux esprits qui s’échangent des opinions et se battent.
Moi représente une vie sublime et saine: Moi ?ne méprise pas les plaisirs des
m’est infiniment plus doux encore d’avoir secouru le malheureux, sens?, mais ?il
d’avoir terminé une affaire épineuse, donné un conseil salutaire, fait une lecture agréable ; une promenade avec un homme ou une femme chère à mon cœur; passé
quelques heures instructives avec mes enfants, écrit une bonne page, rempli les devoirs de mon état ; dit à celle que j’aime quelques choses tendres et douces qui
amènent ses bras autour de mon col. Je connais telle action que je voudrais avoir faite pour tout ce que je possède?. Moi a la vertu parfaite traditionnelle.
Néanmoins, le neveu de Rameau est déshonnête. Il ne pense qu’à obtenir une vie plus agréable. Il doit être critiqué, mais dans ce roman, il est éloquent. Moi qui croît aux le vrai, le bon et le beau est tout pâle en face de lui. Moi est toujours inhibé et obligé d’être d’accord avec son point de vue en disant ? vous avez raison?.
Pourquoi Moi qui a d’abord la condescendance morale devient de plus en plus
éteint? Le neveu de Rameau n’est pas seulement un parasite, il a une certaine culture
sur la musique, le théâtre et la littérature. Il a aussi son propre opinion sur la politique, la société, la moralité et l’éducation. Il dit que dans le cœur des hauts dignitaires, ? rien n’était plus utile aux peuples que le mensonge ; rien de plus
nuisible que la vérité ?. Il dit aussi que ? je vois une infinité d’honnêtes gens qui ne
sont pas heureux ; et une infinité de gens qui sont heureux sans être honnêtes ?. Il aperçu la puissance de l’argent, il sait que si un homme a de l’argent, quoiqu’il fasse,
il n’perdra son honneur. Il sait aussi que les faits mauvais dans la société sont dus au système féodal. Selon lui, ? il n’y a d’absolument, d’essentiellement, de
généralement vrai ou faux, sinon qu’il faut être ce que l’intérêt veut qu’on soit; bon
ou mauvais; sage ou fou, décent ou ridicule; honnête ou vicieux?. Bien que Moi respecte la vertu parfaite, il sait bien que dans la réalité, les gens sont égoïstes et utilitaires. Tous ceux qu’ils veulent, se sont la nourriture, la résidence, les matériaux,
la richesse et le pouvoir. Il comprend que son rêve est irréel, donc il ne peut pas nier les opinions du neveu de Rameau.
Malgré des opinions correctes dans la tête mauvaise de Lui, il est un égoïste xtrême. Il pense que l’éducation est faite pour conduire? à toutes sortes de e
jouissances, sans péril, et sans inconvénient ?. Il préfère être un parasite plutôt que d’obtenir la nourriture et le vêtement par son travail. Quand Moi tente de le persuader
d’avoir une vie sublime, il le refuse en disant qu’il ne s’adapte pas la vie que Moi
propose. Pour lui, son propre désir est le plus important, les autres sont sa sauce. ? Le meilleur ordre des choses, à mon avis, est celui où je devais être; et foin du plus parfait des mondes, si je n’en suis pas. L’aime mieux être, et même être impertinent
raisonneur que de n’être pas ?. Il considère les autres personnes comme des outils de
réaliser ses désirs. Pour ses théories fausses, Moi essai de le faire les remontrances, mais il ne change pas d’avis. Moi est inquiet mais dépassé.
Chapitre 3 Esprits de l’auteur
En fait, Lui et Moi sont surtout allégoriques et le dialogue est surtout celui de Diderot avec lui-même et plus exactement entre deux facettes inconciliables de ses considérations morales. Plus généralement encore, Le Neveu de Rameau manifeste
l'écart entre la réflexion philosophique et la réalité quotidienne.
eLe 18 siècle est le siècle des Lumières ou le siècle de philosophie. Les philosophes s’opposent de la croyance. Ils veulent légitimer l’éthique à l’aide de la raison.
Cependant, leur raison est partielle. Le centre de cette raison est le sujet. Ainsi,
e l’égoïsme représenté par Helvétius apparaît. Son esprit influence beaucoup le 18
siècle et la postérité. Il développe un sensualisme matérialiste, où l’intérêt seul dirige les jugements. Il pense que l’ultime objectif des gens est de jouir de la vie joyeuse. Cette tendance reflète suffisamment dans le neveu de Rameau. C’est vrai que son avis s’accorde bien avec les demandes du siècle. C’est pourquoi quand Moi dit qu’il l’aime
mieux musicien que moraliste, Lui répond ? Je suis pourtant bien subalterne en
musique, et bien supérieur en morale ?. Selon la règle de ce siècle, il est vraiment ? moral ?.
En face de cette situation, l’attitude de Diderot est complète. Bien qu’il critique fermement la croyance, il se soucie de la gêne éthique après la perte de la croyance. Dans le Neveu de Rameau, il est contre Lui. Il croît encore que l’humanité a une
certaine moralité naturelle. Mais il ne peut pas trouver une raison suffisante pour être un homme sublime.
Diderot aperçu que l’humanité commence à perdre quelque chose dans son esprit.
Malgré la crève des astreintes anciennes, des pièges nouvelles ont déjà apparaît. Il en est anxieux et indigné, mais il n’y peut rien.
Conclusion
Dans ce récit dialogué, Diderot a expressivement décrit un personnage qui a ni honte ni pudeur mais est à la fois perspicace. Par ses actions difformes et ses paroles correctes ou fausses, il condamne la haute société de la France. Mais l’important, c’est
qu’il réfléchit sur le résultat du mouvement des Lumières. Il révèle la contradiction
entre l’homme et la société, le personnage et l’auteur, la société soi-même et l’auteur
soi-même.