Statut et usages des objets dans la société de consommation
Un objet lorsqu'il apparaît sur le marché va se faire adopter ou non. Si on
décide de l'adopter, s'enclenche alors un processus d'appropriation, qui
peut s'effectuer de différentes manières, et c'est par ce procédé que le
sens prend une toute autre dimension.
Nous sommes dans une société où la durée de vie d'un objet est courte, on
n'a pas le temps de s'arrêter sur le rôle et la place d'un objet, pourtant
un objet devient différent pour celui qui le regarde car il y trouvera
plusieurs significations et plusieurs utilisations.
I. I. Concept de culture matérielle ���
II. Elle permet d'étudier les réponses données par les hommes :ses
contraintes entrainent des réactions diverses, à travers le naturel se
révèle la culture. Dans notre société où notre façon de vivre implique
certains besoins et contraintes, ses besoins relèvent plus du culturel que
du naturel, la société produit des besoins qui s'intègrent dans notre
quotidien. �Les objets ne peuvent se réduire à une simple communication,
les objets sont d’une part des Signes de distinction sociale, l’objet
désigne le statut de l'individu qui l'utilise. C'est l’objet qui détermine
notre place dans la société.�Ex : le livre a différentes significations, sa
forme peut par exemple changer la façon dont nous allons
l'intercepter. �Le vêtement au quotidien est un objet qui remplie beaucoup
de significations et varie selon plusieurs situations. �DIDEROT : l’habit
c’est l’expression de l’être.
III. II. L'intérieur d'une voiture nous apprend des choses essentielles
sur celui à qui elle appartient.
IV. III. L'objet nous apprend beaucoup sur les transmissions
intergénérationelles. Dans le progrès, on ressent l'attachement au passé
'' C'était mieux avant''. Nostalgie : Objet = Repère. �Au delà de ce
qu’induit l’objet il y a aussi tout ce que l’objet induit en terme de
transmission de la mémoire, de certain gestes. Pourquoi y a-t-il une
histoire de la civilisation matérielle?
V. IV. Les historiens ont réalisé l’histoire des objets quotidiens,
d’art etc.… et d’autres historiens ont décidé de faire une histoire de la
civilisation matérielle en se penchant sur l’appropriation des
objets. �L’histoire de la civilisation doit tenir compte de la rareté de
l’objet à la série de l‘objet, le 20 ème siècle connait le dilemme du
problème : �Il y a une aliénation du sujet, selon carl marx, on créait
l'outils parce qu’on en avait besoin, aujourd’hui la société de
consommation produit et crée le besoin alors qu’il n’existe pas pour
pousser à la consommation. �Cette manière conditionne nos choix, elle fait
émerger des effet négatif de la révolution Industrielle.
VI. V.
VII. VI.
I. I. Beaucoup de philosophes, sur le système de l’objet, ont expliqué
que ces objets sont liés à l’identité de la personne et son faire-valoir la
plupart du temps. �La consommation qui submerge de la société
occidentale, reste liée au système de l’objet, l’homme est dupé par les
signes, il devient une relique du passé, une marque de l’inutile. � �II.
Société de consommation : �Il y a aujourd’hui autour de nous une évidence
fantastique de la consommation et l’abondance constituées par la
multitude d’objets, de service et de biens matériels. �Les hommes sont plus
entourés d’objets que de personnes en 70. Nous sommes dans une société
individualiste où ils se referment, pourquoi autant de films, d’émissions de
déco chez soi? beaucoup de personnes se referment, et vivons moins avec
des hommes mais plus avec des objets communicants, comme des maisons
automatiques, plus d’objet obéissant que dans les années 70 mais des
objets intelligents. �Nous vivons le temps des objets avec leurs rythmes
c'est nous qui les regardons, alors que dans toute la civilisation
antérieure c'était le contraire, nous sommes totalement en mutation
depuis cette multiplication d’objets.�La société propose au consommateur
plusieurs choix, dont des objets à partir duquel l’homme a déjà un sous
ensemble, on a une multiplication d’objet lancée par la société, l'individu
va se l'approprier et va faire un mode de vie selon l’objet, l’homme vit
dans un monde de l’objet, l’acquisition d’un objet dans la société
bourgeoise va être… (ex : cabinet de toilette , son arrivée a été
phénoménale, un des premiers hôtel à présenter des toilettes
individuelles dans chaque chambre était un hôtel de luxe, un objet de
consommation comme de nos jours avec la TV ou autre…) �La société du
19eme : l’objet devient le symbole du statut social. Un Aspect important
de la vie bourgeoise était d'accumuler au cours de la vie un certain
nombre d’objets assez solides pour qu’on puisse penser qu’il durerait
toujours, et le transmettre par un héritage. �Entre 1920 et 1940, il y a
l’idée de péremption de l’objet, plus il y a de l’objet moins les objets
doivent durer dans le temps. Il y a une apparition de courant de
pensée. �La péremption de l’objet peut se faire par l’usure, par accident,
introduit l’idée de moyenne et emmène la démographie du monde de
l’objet. Les objets ne sont plus surs comme avant et ne sont plus fiables,
ils le sont seulement sur une courte durée. �N’importe quel objet même le
plus ordinaire, enferme de l’ingéniosité, des choix, une culture." Faire de
l'ingéniosité de l'objet le plus ordinaire". Tous les objets sont associés à
un savoir qui est un surplus de sens et c'est nous qui donnons ce surplus
de sens car on donne le sens qu’on veut à l'objet. �L’émergence d’un
rapport intellectuel au milieu de ressources et avec la mutation, la
modification. Le système d’échange social est transformé c’est-à-dire
l’environnement dans lequel on vit. �Qu'est-ce qu’un objet :
II. II. Racine latine -> je t'écoute
III. III. l’objet est une chose existante en dehors de nous même, elle
est une chose avec un caractère matériel; l’objet est tout ce qui s’offre
à la vue et affecte les sens, c'est obligatoirement porteur de sens,
c’est-à-dire la manière dont on ressent les choses, la vue, l’odeur, le
toucher etc.… et bien entendu par un surplus de sens apporté par
l’homme avec un caractère matériel. Un objet n’est pas un être vivant, et
vice versa. �Une chose devient objet à partir du moment où on lui donne
une fonction. �L’objet c’est le produit de l’homme qui fabrique et le produit
d’une civilisation industrielle (fer à repasser…l’objet est véritablement
produit par l’homme.
IV. IV. Le miroir est un symbole d'un passage entre la vie et la mort.
Il a un pouvoir sur les croyances.��Relation entre objet et
communication. �La société industrielle qualifie de culture cet
environnement artificiel. Au sein d’elle-même on peut distinguer des
signes aux sens cachés ou non, qui envoient volontairement ou non des
messages. A partir du début du 20eme siècle, on a vu une multiplication
de la création des objets, du coup ce foisonnement d’objets dus à un
certains nombre de causes, fait perdre la valeur du sens premier du mot
objet. �Il y a des objets que l’on ne peut pas prêtés pour une question de
symbolique, par exemple une brosse à dent. On ne prête pas tout et on
ne prête pas la même chose à n’importe quelle personne.
V. V. 1er élément de sociabilité : le siège. Selon lui, on adoptera
différentes attitudes, on aura une autre manière de s'exprimer. Si une
table est là, cela va changer notre aise car je dispose alors d'un support.
De plus, elle peut servir de cache. �Le développement d’objet est tel que
la tendance nous pousse à avoir un certain nombre d’objets pour être
dans la norme. �La consommation ostentatoire, au delà de la notion de la
propriété lie le statut de la personne à ses possessions, en fonction du
nombre d’objets que vous possédez, on vous regarde différemment.�’’Dis
moi ce que tu consommes, je te dirais ce que tu possèdes et donc qui tu
fréquentes.’’ �On ne cherche plus la fonction de l’objet mais la fonction
qu’il apporte. �L’élément de culture envoie des messages, que l’homme
apporte à la société en général par l’objet qu’il choisit. On peut dire qu’il
y a l’apparition d’un certain savoir. �L’objet quotidien (stylo voiture ) sont
porteur de formes, d’apparence gérée par l’apparence de cet objet, il
communique parce que vous allez être attirés par son apparence sa
forme couleur, l’objet est communicateur il est communication. �« le
médium is the message » �1er aspect : il est porteur de forme : une image
soit féminine soit masculine, �3eme aspect : Moyen de communication à
distance : l’objet est plus ou moins personnalisé directement par la
personne qui a choisi d’envoyé l’objet a une autre personne (ex bague de
fiançailles) �4eme rôle dans le rôle de l’objet de communication : faire ses
achats, ça permet de rentrer en relation avec un grand nombre
d’individus; donc l’idéal est de réduire l’être humain à son rôle principal
(ex le vendeur reste le vendeur, le client le client) � �La
communication …? �Les classes dominantes affichent de manière
ostentatoire, tous les domaines ne sont pas crées par les classes
dominantes. Il y a toujours des exceptions. �L’objectif de la consommation
ostentatoire, c'est l’individu qui communique par l’objet, il souhaite
préserver la hiérarchie de l’objet. �Cette consommation peut être
envisagée comme un destin social ce qui va affecter les classes social Ex :
avant la femme était dans la classe dominante si son but était de rien
faire elles ne travaillent pas et aujourd’hui les femmes qui ne travaillent
pas sont considérées comme négatives, elles ne font pas partie des
classes dominantes. �On peut chercher la fonction de l’objet par son
design, �… �L’homme assis et l’homme debout. �Le siège est le premier élément
de sociabilité parce que on invite à nous asseoir, il possède beaucoup de
connotations. On aura pas la même façon de s'exprimer selon l’endroit où
l’on est assis, et surtout comment on est assis. La position dans laquelle
on est assis est très délicate car cela dépend beaucoup. �La postions assise
est différente selon si on voit tout le corps ou non , car l'individu n’a pas
besoin de faire attention à la position de son corps. Le siège peut montrer
la hiérarchie. Tous ces éléments peuvent donner une marque à
l’autre. �Qu'est-ce que le kitsch et le gadget ? �« l’objet-kitsche c’est
communément toute cette population d’objet tocard en stuc en toc
d’accessoire de bimbeloterie de souvenir, d’abat jour ou de masque nègre
tout le musée de pacoti qui profilerai partout avec une préférence avec
un lieu de vacance et de loisir » BAUDRIART �Qu'est-ce que le quiche ça
peut être une simulation une copie, un objet factif, selon Baudriart il
appelle ça un pseudo objet, il possède une multitude de détails, l’objet en
fait trop. Ce pseudo objet existe par le désir de l’individu d’accéder
toujours à une classe sociale supérieure. �Il s’inscrit dans une société
d’ostentation avec cette envie toujours plus importante d’appartenir à
une classe sociale beaucoup plus importante.�Par le quitche on a une
révélation d’objets rares. On est dans la recherche de l'instinctivité,
c’est-à-dire plus que les classes moyennes s’emparent de copies d’objets
précieux, plus les classes supérieures cherchent à se distinguer par
d’autres signes. �Qu'est-ce que le gadget ? �Le gadget est aussi cette
parodie de technologie, cette excroissance des fonctions inutiles, cette
simulation continuelle de la fonction sans référent pratique réel. C’est
l’emblème de la société post industrielle.�Tout objet est considéré comme
gadget à partir du moment où il rentre dans une pratique de mode.�Le
gadget se définit par du ludique. C’est par le ludique qu’on est amené à
s'intéresser aux choses. �L’horloge c'est l'équivalent du miroir car elle est
le reflet du temps qui passe elle peut représenter la contrariété
l’angoisse
VI. VI. �L’autosatisfaction ou le besoin de plaire�Mise en valeur du
corps, on a des modèles de référence, l’homme moderne est exigeant, il ne
se permet aucune faille mais veux se démarquer. La femme elle a besoin
de se faire plaisir et est beaucoup plus narcissique. Le corps est lié à la
reconnaissance et la réussite de l’individu, on prends soin
particulièrement de sa peau. �La beauté; c’est la réduction de toutes les
valeurs concrètes en une seule, qui est la valeur d’échanges fonctionnels;
l’idée du désir et de la jouissance. L’impératif de la beauté c’est faire
valoir.
VII. VII. �12 10 09 �Le principe de l’objet corps plaisir. �Il faut savoir
que le corps est vendu ou acheté comme un objet de consommation. Les
pubs le montrent parfaitement. Ce qui arrive en premier c’est la pulsion
d’achat, le corps devient une monnaie d’échange. �Ce corps est
constamment mêlé à des stratégies dans tous les rapports sociaux.
Exemple : Le culte de la minceur chez la femme, ça transforme le corps
en un objet. �On a tendance à faire disparaître le corps organique pour ne
se focaliser plus que sur l’apparence avec un corps qui est lié à l’hygiène,
la propreté etc. … A partir de ce corps objet on voit bien que le désir de
beauté est présent, ce qui entraine de la souffrance. On assiste à une
sorte de corps quoi est sacrifié à l’apparence.
VIII. VIII.
IX. IX.
X. X. �L’objet corps sexe �L’érotisme culturel est présent dans un grand
nombre de pub pour tout type d’objet. �Nous formatons notre corps en
fonction de ce qu’on voit, c’est donc la culture qui parle. �Le corpo réisme :
étude du corps par rapport à la représentation que nous en avons. On est
passé d’un corps puritain et rempli de tabous à un corps libre d’interdit
avec un besoin d’accomplissement physique immédiat, d’interaction au gré
de ses propres pulsions libidinales, un corps sans entrave et sans
morale. �Cet négation de tout forme de tabou a engendré une forme de
modèle qui a entrainé une désappropriation du corps qui devient
véritablement un corps machine. �Freud a dit que le moi est corporel à la
base et que du coup la pulsion est non pas physique mais organique.
L’esprit joue un rôle dans ses pulsions puisqu’il y ajoute des images et des
fantasmes. Cette représentation passe par des pulsions qui sont
organiques.
XI. XI.
XII. XII. Reich et Groddeck �Reich dit qu’il y a un conflit psychique
entre le fonctionnement naturel de l’organisme et les contraintes
sociales ou personnelles. �Si l’individu n’assouvit pas à ses désirs il rentre
dans une spirale de frustration. Cette capacité des individus à gérer le
corps comme un objet libre d’interdit est lié au développement de
l’individu. �La communication est avant tout une communication corporelle
car elle passe avant tout par le physique, le regard etc. … Elle a suscité
un grand nombre de pratique, les gens se sont tournés vers des thérapies
par le corps. �Le corps englobe énormément de paramètre à l’identité de
l’individu. � �PARAITRE ET APPARAITRE : LA COMMUNICATION PAR
L’APPARENCE �Des expériences ont testées le degré d’importance de
l’apparence pour un jury par exemple. �A intelligence égale, un beau et un
moche auront la même note. Tout se passe dans les 4 premières minutes
de la relation. �On a du mal à vieillir dans notre société actuelle, culte de
la jeunesse. �La beauté concerne également une valeur d’échange. �La
beauté est lié à la perception de soi et de l’autre mais aussi à la valeur
de soi et l’estime de soi. C’est souvent lié à la façon dont on a perçu que
notre corps se transformait durant l’adolescence.�Il y a un désir
permanent d’être remarqué et à la fois d’être anonyme parce que les
deux statuts présentent des risques, des responsabilités à prendre et des
trucs à assumer. On est dans une société du spectacle, ce qui est bien
aujourd’hui c’est de se montrer. � �Le monde des objets techniques : entre
besoin, attente et usages. �On a posé la question de l’usage, qu’Est-ce que
sont les usages et nos besoins? Aujourd’hui l’homme n’est plus obligé
d’utiliser des objets pour survivre, alors qu’au début de l’humanité il
avait cette contrainte. �L’objet doit faire l’usage tout seul, l’homme n’a
plus besoin d’intervenir sur cet objet. Des techniques apparaissent pour
faciliter la vie de l’homme et de le remplacer dans certaines actions et
de réduire son travail autant que possible. L’objet devient un bras
supplémentaire de l’homme. �Les industriels essayent de se tourner vers
une autre tendance qui est de comprendre les besoins de l’homme pour
ensuite créer un objet. �Tout est lié à une capacité de réaliser un projet
de vie. �Le progrès technique a d’abord émergé a un progrès technique, ce
progrès est arrivé dans le quotidien de l’individus, du coup on a eu une
culture technique. Le progrès technique est devenu un objet. ��Jean
Baudriard a écrit : Ce n’est pas la fonction individuelle d’intérêt à travers
un corpus d’objet qui est déterminante, c’est celle immédiatement
sociale, d’échange, de communication, de distribution des valeurs, à
travers un corpus de signes. �La télévision est l’un des premiers objets
techniques. �Le téléphone est le premier instrument de communication à
s’introduire dans le monde domestiques. Il faut à la base plusieurs jours
pour qu’un télégramme arrive, ou pour se déplacer. Le téléphone lui
rompt la distance et marque l’appartenance à l’époque à un statut social.
Jean-Jacques Henri expliquait que pour les nouveaux riches la modernité
c’est l’introduction de nouvelles technologies dans la demeure. Le
téléphone devient donc le premier objet qui marque le pouvoir, la
puissance… On assiste à une nouvelle forme de communication médié par
la technique. �L’arrivée de la télé a aussi marqué une révolution dans
l’histoire du progrès et de la technique, elle marque l’entrée d’une
nouvelle génération. C’est à partir de maintenant que la question de
l’usage se pose. Elle est considérée comme un produit de consommation au
service de la vie domestique. Elle est très couteuse, tout le monde ne la
possède pas, il y a tout un collectif devant la télévision alors qu’à ce jour,
elle individualise. Au fur et à mesure de son intégration; elle a crée un
nouveau mode de vie ( culture de l’image au détriment du théâtre par
exemple). �La télévision en tant que vecteur de communication sociale�En
mai 68, un slogan scandait ‘’ ouvrez les yeux et éteignez la télévision’’. Il
y avait un autre symbole autour de la télé, elle représentait un des
piliers centraux de la famille. Elle permets aux téléspectateurs de se
situer par rapport à un phénomène social. Un objet a engendré un
phénomène sociale par le processus de communication que l’objet a utilisé.
Elle est devenue un phénomène social car elle donne matière à discussion.
Elle devient le sujet de conversation par excellence pour la majorité des
gens. �‘’ A défaut du cadre de référence, les gens ont besoin de parler aux
autres, et de prendre à témoin, d’interpeller, et de communiquer au delà
de la caméra.’’ �Cette télévision occupe une place fondamentale. Elle
devient très vite un phénomène de mode. Hervé bourges a expliqué que la
télévision est le seul objet à faire partie de la mémoire collective.
Certains événements télévisuels rapproche le groupe ( match de foot … ).
Il faut savoir que l’on se retrouve exclut d’une conversation ou au pire
d’un groupe si on ne suit pas une émission, un film ou autre…. �La télévision
est le médium autour duquel la médiation peut se faire. � �Un besoin
d’exister par rapport à l’autre �Certains trouvent que la télévision
individualise car elle a crée une nouvelle variable dans les relations : la
superficialité. �Les attitudes du vouloir être avec l’autre fonde le
comportement social de l’individu. C’est une donne à ne pas laisser de
coté. Ils vont influencer tous les processus d’individualisation des objets.
La télé devient automatiquement notre langage peu importe ce qu‘elle
diffuse. �A partir du moment où i